Mesdames, Messieurs les députés,
Monsieur le Président de l'Assemblée Nationale,
Je crois que le sujet n'a même pas à être débattu. Nous sommes au XXIe siècle et notre pays autorise encore la Justice a ordonner la peine de mort. Qui a le droit de vie ou de mort sur les êtres humains? A mon sens, personne. La République d'Ostaria doit avancer dans la modernité et la justice, c'est ce que nous proposons ici.