Procès d'Albert Delfrous

Citation :

Suivant les différents témoignages et preuves recueillies contre M. Albert Delfrous, la Cour suprême décide d'établir un procès contre M. Albert Delfrous.

L'accusé est accusé des infractions suivantes :
- Complicité d'actes de terrorisme ayant entraîné la mort (crime de catégorie B)
- Complicité d'homicide volontaire multiple (crime de catégorie B)
- Intelligence avec une puissance étrangère (crime de catégorie B)-
- Complicité de tentative de vol avec violence (délit de catégorie B)

Les jurés seront bientôt choisis parmi une liste de personnes ayant été actives durant le dernier mois.

Le procès débutera la semaine prochaine.

Citation :

Liste des personnes éligibles pour être membres du jury (personnes actives au moins une fois depuis un mois, sont exclus les comptes scénario) :

1 : Jérôme Plassel
2 : Stéphane Dubois
3 : Albert Delfrous
4 : Éric Wallas
5 : Agrippine Sonners
6 : Christian Duroux
7 : Mickaël Ruiz
8 : Solène Loyal
9 : Louis Chaldon
10 : Philippe Cardon
11 : Hector Johnson
12 : Philippe Lacroix
13 : Mathilde Picvaux
14 : Martine Lafouine-Chaldon
15 : François Dickson

Le jury (composé de 5 jurés tirés au sort, le premier choisi étant Président du jury (exceptionnellement est créé un dé à 15 faces)). Aucune personne ne peut posséder plus de deux comptes jurés :

John Wilkilson a effectué 1 lancé(s) d'un Dé à 15 faces :

2

John Wilkilson a effectué 1 lancé(s) d'un Dé à 15 faces :

11

John Wilkilson a effectué 1 lancé(s) d'un Dé à 15 faces :

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John Wilkilson a effectué 1 lancé(s) d'un Dé à 15 faces :

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John Wilkilson a effectué 1 lancé(s) d'un Dé à 15 faces :

5

EDIT : Le roulement a été effectué une deuxième fois car la première fois ont été tirés au sort 5 comptes de la même personne (Christian Duroux, Martine Lafouine-Chaldon, Stéphane Dubois, Louis Chaldon et Jérôme Plassel).

Citation :

En raison d'une erreur (Albert Delfrous ne peut pas être juré à son propre procès), le dé n°3 est relancé.

John Wilkilson a effectué 1 lancé(s) d'un Dé à 15 faces :

4

Citation :

Liste des jurés au procès d'Albert Delfrous :

- Stéphane Dubois (Président du jury)
- Hector Johnson
- Éric Wallas
- Mathilde Picvaux
- Agrippine Sonners

les jurés recevront par messages privés toutes les informations concernant leur charge.

Mesdames, Messieurs, bonsoir et bienvenue à ce procès.

Tout d'abord, nous rappelons la composition du jury :
- M. Stéphane Dubois (Président du jury)
- M. Hector Johnson
- M. Éric Wallas
- Mme Mathilde Picvaux
- Mme Agrippine Sonners

M. Albert Delfrous, l'accusé, a demandé d'assurer lui-même sa défense, requête acceptée.

Nous rappelons les charges :
- Complicité d'actes de terrorisme ayant entraîné la mort (crime de catégorie B)
- Complicité d'homicide volontaire multiple (crime de catégorie B)
- Intelligence avec une puissance étrangère (crime de catégorie B)
- Complicité de tentative de vol avec violence (délit de catégorie B)

(suite demain)

Juge : M. Delfrous, vous avez le droit de garder le silence. Nul ne peut interrompre une personne parlant,
excepté avec l'accord du juge.
(HRP : Vous postez un message qui dit "Objection, votre honneur !" (il faut être poli, sinon le forum n'accepte pas ) et vous indiquez les quelques derniers mots prononcés par la personne qui parle. Le reste n'est donc pas pris en compte, si votre objection est acceptée (mais il est conservé si votre objection est refusée). Attention ! Vous ne pouvez dire autre chose que si le juge vous dit "Accordé".)

Juge : M. le Procureur, vous avez la parole.

Procureur : Merci, votre honneur. Mesdames et Messieurs, j'aimerais faire entendre l'un des policiers qui a participé à l'assaut donné contre les personnes ayant tenté de dévaliser la banque.

Un témoin, présent ici, vit le Procureur lui faire signe de venir, s'assit devant le juge, à la place qui lui était réservée, puis commença à parler, tandis que le greffier continuait à écrire.

Témoin du procureur 1 : Mesdames, Messieurs ... voilà. J'ai participé, comme l'a dit M. le Procureur, à l'assaut donné contre les criminels qui ont tenté le braquage ... Conformément aux ordres, j'étais entré d'un côté avec 4 de mes camarades, tandis que d'autres entraient par des endroits différents, afin de bloquer toutes les issues. Certains étaient également restés en bas. Donc, lorsque nous sommes entrés, nous n'avons vu personnes. Les voleurs étaient monté à l'étage avec les otages. Je n'en étais pas surpris, car ils s'étaient déjà adressés à la police de cet étage. Nous sommes montés, car ce scénario avait été prévu par nos supérieurs, et, comme nous avions reçu l'ordre de nous montrer à 22h30 précises - nous avions réglé nos montres -, nous sommes restés cachés quelques minutes. Et nous avons entendu les criminels dire que si leur opération de marchait pas, "le patron" saurait le leur faire payer. Au début, ils tenaient leur langue, mais, peu à peu, en parlant des événements, ils laissèrent échapper à plusieurs reprises le nom de "Delfrous", puis celui d'"Albert Delfrous", ce qui ne laissait aucun doute quant à l'identité de la personne dont ils parlaient, coupable ou non. Nous avons ensuite surgi tout à coup en levant nos armes, à l'heure déterminée. Par d'autres entrées, les autres groupes avaient fait de même. Sauf l'un deux qui se montra une dizaine de secondes plus tard. Bref, jusque là, tout allait bien. Nous leur avons dit de poser leurs armes, et de lever les mains en l'air, mais l'un des criminels a tout de suite tué l'un des otages d'une balle dans la tête, suivi d'un deuxième, puis nous a dit de baisser nos armes, si nous ne souhaitions pas la mort d'autres otages. Nous avons malgré tout ensuite reçu l'ordre d'ouvrir le feu. Mais au lieu de nous tirer dessus, on aurait dit qu'ils essayaient de tuer un maximum d'otages. Malheureusement, ils ont eu le temps d'en tuer 14, nous n'avons pas pu en sauver plus que 9. Tous les criminels étaient morts.

Merci.

Procureur : Merci, M. Simonin. M. Delfrous, auriez-vous une question à poser à notre témoin ?

Albert Delfrous : un scénario des plus banals je n'ai rien à ajouter

Procureur : Très bien.

Il fit signe à quelqu'un d'autre, qui se leva, s'assit à la même place qui venait de se libérer, puis commença à parler.

Bonjour à tous. J'ai moi aussi participé à l'assaut, dans un autre groupe. M. Simonin a très bien résumé l'affaire. Donc je faisais partie du groupe qui s'était montré un peu plus tard que prévu - cela nous a valu huit sacs de patates à éplucher -, car nous étions d'abord entrés à l'étage encore au-dessus, car nous avions entendu du bruit. En fin de compte, nous n'avons rien vu, mais d'autres nous ont fait signe de descendre, avant de se dépêcher d'y aller, car ils avaient eux aussi pris beaucoup de temps. Le temps de trouver, nous étions sorti un peu en retard.

Mon témoignage concerne, en plus de ce qu'a dit M. Simonin, ce que nous avons entendu depuis en-haut. Avant que les autres n'arrivent, vraisemblablement, nous avons entendu, par la fenêtre, car celle de l'étage du dessous était également ouverte, même si les terroristes ne se montraient pas afin de ne pas se faire tirer dessus. Bref, ils ont très clairement dit - je me rappelle des mots exacts - : "Je crois qu'ils vont donner l'assaut bientôt" - ils n'avaient pas compris qu'il avait déjà été donné - "Il faut se préparer." et un autre : "Dépêche-toi ! Ouvre la porte !", puis une voix, vraisemblablement celle d'un otage, dire : "O-Oui monsieur, tout de suite monsieur". C'est alors qu'une voix a murmuré : "On doit se dépêcher, sinon on aura des comptes à rendre à Delfrous ...".
C'est après qu'un autre policier nous a fait signe et nous sommes partis. J'ai aussi entendu, comme M. Simonin, les criminels clairement parler d'Albert Delfrous ... je ne veux pas parler de l'épisode horrible que nous avons vécu ce jour-là.

Procureur : Merci. M. Delfrous, une question ?

Humm oui , juste un détail qui me tracasse , d'après les informations télévisé , les otages et les criminels était dans le coffre fort , la pièce et la mieux isolé de tout le pays sans passer le détail de la fenêtre bien entendu je me demande comment vos soldatpeuvent entendre dans des murs ultra sécurité

Témoin : Non monsieur, ils n'étaient pas dans le coffre-fort. Je ne sais pas d'où vous tenez vos informations mais ils n'y étaient pas. Comme je crois vous l'avoir dit plus tôt, la fenêtre n'était pas ouverte par hasard. L'un des malfaiteurs communiquait fréquemment avec un porte-voix avec la police.

Procureur : D'où tenez-vous ces informations, M. Delfrous ?

-De mon ami et rescapé de l'attaque , monsieur Constantin endros qui et aussi le directeur de la banque

Procureur : Peut-il en témoigner devant le tribunal ?

Mon ami et actuellement en soin a l'hôpital , pour les personnes atteint de traumatisme il a vue plus de 14 personnes mourir avec des balles dans le ventre et la tête

Procureur : Seulement 14 ? Pourtant, ce sont 29 personnes qui ont été tuées. Comme M. Endros ne peut pas venir témoigner, ce témoignage ne peut pas compter. Nous nous tiendrons donc aux dires de notre témoin, M. Léonard Berger.

Avant que nous ne passions aux victimes, auriez-vous un autre témoin à nous présenter, M. Delfrous ?

Non non poursuivez monsieur le procureur

Le Procureur fit intervenir une victime du nom de Samuel Lellouche.

Témoin du procureur 3 : Mesdames, Messieurs ... voilà. Cela a été un grand choc pour nous tous, dans la banque, lorsque les criminels sont brusquement entrés en levant leurs armes. Nous avons tous levé les mains, sauf trois très courageux agents de sécurité, qui se sont jetés sur eux, et ont presque réussi à immobiliser l'un d'entre eux. C'est alors qu'un autre a tiré leur a tiré dans le bras, et ils ne purent que lâcher leur prise. Ainsi, nous avons été rassemblés ensemble au milieu de la pièce, puis un des criminels est sorti et a crié quelque chose à la police. Je n'ai pas bien entendu, mais je pense que vous savez mieux que moi ce qu'il a dit. Il est ensuite revenu, et nous avons tous été emmenés - avec des pistolets, des fusils, enfin des armes, je n'y connais rien -, car ils pensaient qu'il serait plus facile de nous y barricader. Nous avons été obligés de fermer les portes à clé, et de les barricader. Mais nous avons pris soin de ne pas révéler les sorties de secours cachées, par lesquelles certains policiers sont entrés. De plus, nous afin fait attention à ce que ce que nous avions mis devant la porte - principalement des chaises - était très fragile et pouvait s'écrouler facilement. Nous nous sommes éloignés de la porte, qui, ouverte, servait à communiquer avec la police. Et je peux affirmer avoir entendu toutes les conversations. Je pense qu'ils ne croyaient pas une seconde que nous pourrions être sauvés, ils ne murmuraient même pas. L'un d'entre eux a tout d'abord calmement demandé d'ouvrir le coffre-fort, très bien gardé. Je n'ai pas le droit de vous révéler les différents mécanismes nécessaires à son ouverture. Vous comprenez, c'est du secret professionnel. Il s'était d'abord adressé à Constantin Endros. Il répéta,
plus fort, et sur un ton plus énervé. Puis encore une fois, encore plus agressif. Ensuite, il lui tira dans la jambe, et le menaça de tirer dans le cœur. C'était un spectacle horrible, je vous prie de me croire ! J'ai horreur de la vision du sang ! Et tant de violence ... Bref, Constantin Endros accepta de parler, et commença à révéler les nombreuses choses à savoir pour pénétrer dans la chambre forte. Quand il eut fini, nous entendîmes un bruit, et les malfaiteurs aussi. L'un d'entre eux dit qu'il pensait que l'assaut avait été donné, et que s'ils n'arrivaient pas à vider la chambre forte, Albert Delfrous, que certains appelaient "le patron" le leur ferait durement payer ... c'est alors que les policiers sont arrivés, cela a déjà été expliqué auparavant, et je ne compte pas revenir dessus. C'est un souvenir si horrible, croyez-moi !

Procureur : Merci, M. Lellouche. M. Delfrous, une question à la victime ?

Non rien de plus , sauf que juste appelé quelqu'un le patron ne m'associe pas à c'est personnes

Procureur : Nous en viendrons au fait tout de suite, M. Delfrous. Avez-vous un témoin, une victime, n'importe quelle personne à faire venir parler ?

Je ne vois dans cette pièce que des accusateurs qui on déjà décidé de mon sort nullement besoin de faire intervenir des témoins j'ai la conscience tranquille contrairement à certaines personnes

Juge : Si personne n'a plus de témoignage à donner, nous pouvons passer aux preuves. M. le Procureur ?

Procureur : Merci, votre honneur. Vous n'êtes pas sans savoir que la police a fait une fouille au château de M. Delfrous, ici présent, la semaine dernière. Nous avons trouvé ... des preuves.

Tout d'abord, en ce qui concerne le braquage, nous avons trouvé 4 lettres de malfaiteurs à l'accusé. Voici la première.

Il la montra et la lut.

Citation :

Le 3 avril 2017,
à Lunont,

M. Delfrous,

Conformément à vos ordres dans votre précédente lettre, nous nous sommes procurés des armes. Les vendeurs étaient bien au rendez-vous et tout s'est passé comme prévu, la police n'en sait rien.

Je vous confirme également que l'entraînement a repris avec les autres, après une petite période de pause, dont vous connaissez la raison.

Tout est fin prêt pour l'opération.

Cordialement,

William Darland.

Il donna ensuite la feuille à Albert Delfrous afin qu'il vérifie que ce qu'il avait lu était bien écrit.

Procureur : Quelque chose à dire avant que nous passions à la seconde lettre, M. Delfrous ?

Procureur : Très bien. En voici une deuxième.

Citation :

Le 5 avril 2017,
à Tasasque.

M. Delfrous,

Suite à la mission qui m'a été confiée, je vous confirme la faible garde de la Banque Centrale de Lunont. L'opération ne devrait pas poser de problème. Il y aura normalement 6 agents de sécurité seulement, d'après des sources sûres. D'autres auront été transférés pour protéger un convoi d'or,
mais bien trop sécurisé, et au vu de ce que vous comptez faire, la proposition que vous avez faite est bien meilleure.

Cordialement,

Grégoire Jamellin

Il lui donna la feuille, comme il l'avait fait avec la précédente lettre, puis, comme l'accusé ne souhaitant réagir seulement lorsque toutes les lettres auront été lues, il continua.

Procureur : Voici la troisième.

Citation :

Le 7 avril,
à Lunont.

Cher M. Delfrous,

Je suis parvenu à me procurer les plans de la Banque Centrale, l'argent que vous m'aviez donné a suffi à appâter un employé mécontent de son salaire, semble-t-il. Je l'ai aussi "mis en garde" de ne pas tout dire à la police, conformément à vos directives.

Veuillez trouver ci-joint les plans de la Banque Centrale.

Cordialement,

Jean Lapiesse.

Il la lui donna, comme pour les autres.

Procureur : Et voici la dernière lettre qui concerne le braquage de la Banque Centrale.

Citation :

Le 11 avril 2017,
à Lunont.

M. Delfrous,

J'ai pris connaissance de vos directives. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'assassiner tous ces employés soit une bonne chose. Ne pensez-vous pas qu'il serait préférable de les prendre comme otages ? Il serait ensuite bien plus facile de négocier avec les autorités. Si nous les tuons,
la police n'aura aucun mal à entrer et à tous nous arrêter.

Je vous remercie d'avoir porté attention à ma proposition.

Cordialement,

Aurélien Duschnock.

Il la donna, elle aussi, à Albert Delfrous, afin qu'il vérifie ce qui était écrit.

Procureur : Avant que nous passions aux lettres concernant la présumée intelligence avec la Francovie, avez-vous quelque chose à dire ?

Non aucune réactions sur c'est lettre visiblement truqué

Procureur : Des lettres visiblement truquées ? La police a trouvé ces lettres chez vous, M. Delfrous. À quoi verriez-vous que ces lettres sont truquées ?

Mon ami se trouve être le directeur et donc j'ai une copie du plan de la banque chez moi c'est lettres sont donc fausse