Meeting de Christian Duroux élections législatives février 2017

Christian Duroux entra dans la salle.

Bonjour à tous !

Nous serons donc quatre listes : les pseudo-démocrates, les pseudo-républicains, l'Alliance Démocratique et nous-même.

Parlons des candidats de gauche. Ils ne sont même pas capables de déposer leur candidature à temps ! On a d'un côté un candidat franchement extrémiste, qui compte taxer énormément les grandes fortunes, à supprimer toutes les élections, à mettre en place la prohibition de l'alcool et du tabac, de l'autre, une liste de quatre candidats. Deux de ces candidats n'ont, à mes yeux, rien à se reprocher. François Dickson, nous ne l'avons que trop répété, fut un Président incapable d'assurer la cohérence de la République. On l'a vu notamment avec la loi des 5 partis, que Mme Picvaux a faite, mais aussi avec des traités internationaux promulgués sans être ratifiés par le Parlement. Albert Delfrous, le candidat pseudo-socialiste, qui n'hésite pas à envoyer des marchandises en Francovie jallaniste ! Qui souhaite supprimer la loi des 5 partis, même si le peuple dit non au référendum !

Mathilde Picvaux a, bien entendu, appelé à arrêter les discussions sur elle et son passé royaliste, etc., comme il fallait s'y attendre. "Curieusement", elle n'a pas démenti aux accusations. Evidemment, elle est royaliste ! Comme les autres, elle veut mettre la main sur la démocratie, et l'envoyer à la poubelle ! Cette république que nous avons eu avec tant de peine !

Elle a présenté des propositions, qui tenaient soit de mesures déjà portées à l'Assemblée Nationale par mon gouvernement, soit de "grandes réformes de l'Etat", qu'elle n'avait pourtant pas engagées précédemment, qui prévoient notamment une "réflexion" - pour faire croire qu'ils vont faire quelque chose - sur les postes de Président et de Premier Ministre. Nous avons déjà un projet de Constitution prêt à être soumis au référendum, après celui déjà prévu sur la loi des 5 partis et sur l'entrée dans le système Ecomicro, qui prévoit d'ores et déjà la suppression du poste de Premier Ministre, et le règlement de tous les problèmes énoncés.

Vive la République, vive Ostaria !

Et il sortit.

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