Bonjour à tous,
je souhaite arrêter ce matraquage fiscal ! Le peuple n'en peut plus des impôts, des taxes, qui s'entassent et les entraînent vers la ruine !
Je propose donc la création de tranches pour l'impôt sur les revenus et l'impôt sur la fortune. Ainsi les Ostariens gagnant entre 1 000 et 1 100 O$ta mensuels ne paieront que 1 % d'impôt sur les revenus. C'est beaucoup mieux que les 45 % actuels, qui tuent énormément de personnes, qui ne peuvent pas manger, se loger, subvenir à leurs besoins ! Ceux qui gagnent entre 1 700 et 1 800 O$ta par mois ne paieront que 4,7%. D'une manière générale, l'impôt sur les revenus sera plus bas pour tous ceux gagnant moins de 6 800 O$ta mensuels.
Quant à l'impôt sur la fortune, il ne touchera que les personnes ayant un patrimoine d'une valeur minimale de 1 000 000 O$ta. Et encore, ces patrimoines ne seront taxés qu'à hauteur de 1 %. Les patrimoines d'une valeur comprise entre 1 300 000 et 1 600 000 seront taxés à 2,5 % ... et les patrimoines d'une valeur supérieure à 3 400 000 O$ta seront taxés à hauteur de 11,5 %.
La TVA sera abaissée à 10 % au lieu de 15,8 %. L'objectif est double : permettre au peuple d'acheter, et relancer l'économie, aider les entreprises à croître, à s'agrandir, à embaucher !
L'impôt sur les sociétés sera de seulement 6 % sur les TPE ! 6 % ! De quoi leur permettre de produire, et d'embaucher ! 12 % pour les petites entreprises et 25 % pour les moyennes ! Il n'y a qu'une seule chose à craindre : une pénurie d'employés !
Rires
Les entreprises produisant en Ostaria, avec une main d'oeuvre ostarienne, auront, grâce au label "Made in Ostaria", une TVA réduite de 30 %. Cela veut dire 7 % de TVA, moins de la moitié qu'actuellement.
Nos entreprises n'auront plus de concurrence déloyale des pays à faible coût de main d'oeuvre grâce à un droit de douanes sur les produits venant de pays dont les salaires sont faibles. Ce droit de douane, que j'aimerais appeler "Droit de douanes contre l'esclavagisme", sera également divisées en tranches, la première étant un salaire moyen entre 85 % et 76,5 % du salaire moyen ostarien.
Enfin, j'établirai une taxe sur les souffrances animales : les produits dont la création a entraîné des souffrances animales seront taxés à hauteur de 50 % du prix de vente. A l'inverse, les produits dont la création a respecté les animaux auront droit à l'étiquette "Bien-être animal".
Toutes ces mesures nous permettront de relancer notre économie et notre croissance.