Rencontre

Une demande de rencontre avec le chef des armées ostarienne fut demandé au siège de l'état-major

On demanda la raison de cette demande. Archibald Leduc est un homme très occupé et ne peut recevoir que pour des sujets de la plus haute importance.

Le sous-secrétaire donna comme motifs l'avenir de la nation en danger

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Le rendez-vous fut conclu. Il aurait lieu dès que possible.

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Après quelques heures d'attente, Jacques III fut finalement reçu par le chef des armées Ostariennes , il arriva en premier dans le bureau.

- Kévin Delfrous :

-"Bonjour Général, je suis ravie de vous rencontrer enfin".

Archibald Leduc était fatigué. Il n'était pas de très bonne humeur.

Monsieur Delfrous, asseyez-vous.

Venons-en au fait. Quel est l'objet de votre présence ici ?

Jacques répondit calmement pour ne pas brusquer le général avec une touche de flatterie légère .

-Kévin Delfrous :

- " Vous avez beaucoup de pouvoir monsieur Leduc, et vous pouvait m'aider, il faut que l'armée contrôle les lieux importants de Lunont le 31 mars, aucun envoyer du gouvernement ne devra sortir de la ville " .

Il fronça les sourcils.

Expliquez-moi la situation, monsieur Delfrous.

Le "Tsar" répondit calmement.

- Kévin Delfrous :

- " Un changement radical de régime approche monsieur le général, pour sauver notre nation de l'oublie dans laquelle elle et tomber depuis quelques mois, la monarchie et la république, on fait leurs temps. "

- " Le changement approche, je dois m'entourer des meilleurs pour réussir, vous êtes l'un des meilleurs si vous m'aidez dans la construction de ce nouveau régime je ne peut que vous dire que vous risquer d'être grandement récompenser monsieur Leduc " .

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Il s'adressa aux gardes qui l'entouraient afin d'assurer sa protection.

Sortez.

Ils s'exécutèrent et fermèrent la porte.

Quelle alternative proposez-vous, monsieur Delfrous ?

Jacques III répondit calmement .

- Kévin Delfrous :

- " Non d'abord général, Avec Moi ? , ou contre moi ? " .

Jacques laissa réfléchir quelques secondes le général avant d'ajouter

- Kévin Delfrous :

- " Sachant que le seul espoir de sauver la nation et votre seul espoir d'avoir mieux reste moi uniquement ... " .

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Je ne ferai rien en votre nom, Delfrous. Je le ferai parce que je croirais que c'est la meilleure solution pour la nation. À vous de m'en convaincre.

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Toujours aussi, calmement, après avoir bien examiné le général, Jacques réussit à deviner la raison de vivre du général l'armée, il rajouta.

- Kévin Delfrous :

- " Pas pour moi général pour la nation oui, comme vous le savez sûrement la Monarchie a développer l'armée sans la mettre dans une place importante dans l'état, la République la mit en seconde zone sans la développer. "

- " Je peux vous affirmer que le Tsarisme rendra à l'armée ca juste place, nous serons l'alternative entre la Monarchie et la République a la seule différence que je compte beaucoup sur l'armée pas comme les anciens régimes , de plus l'empire permettra aux régions de gagner en autonomie " .

Jacques toussa légèrement pour réveiller le général .

Le général était perdu dans ses pensées.

Oui, monsieur Delfrous ... Enfin, ce que vous me demandez là est tout de même d'une grande importance. Vous me demandez de trahir le gouvernement, en somme.
Quelle garantie possèdé-je que votre projet voie le jour ?

Le Tsar répondit calmement

- Kévin Delfrous :

- " Je ne pense pas que faire descendre d'un échelon politique le gouvernement sera de la trahison général, surtout que nous comptons sur tout les courants politiques dans le futur régime, ils reviendront dans le jeu politique, sachez également que le petit peuple ainsi que la bourgeoisie semble soutenir notre proposition d'après des études sur la question, vous et d'autres fonctionnaire rester nos meilleures alliées " .

Ne jouez pas sur les mots, Delfrous. Ce sera de la haute trahison et l'armée sera mise de côté si nous échouons. Le respect ou non de la démocratie m'importe peu.
De simples "études" sur l'opinion populaire ne consistent pas pour moi une garantie. On peut se passer du peuple comme on peut le manipuler.

Le tsar réfléchis avant d'exposer une thèse comme arguments

- Kévin Delfrous :

- " Bien dans ce cas voici des arguments concrets, Albert Delfrous a réussi à défaire votre armée et a réussi à rétablir la royauté, en affrontant vos soldats avec des mercenaires, partons de la situation actuelle. "

- " Votre armée plus quelques petits embryons de l'armée d'Albert Delfrous le gouvernement ne pourra rien faire sans armée, qui plus et l'argent reste un atout majeur nous commençons déjà à corrompre des fonctionnaires pour ralentir toutes réactions du président . "

- " Imaginées donc bien que nos chances de défaite son nulle voire même inexistante; qui plus et l'armée mérite beaucoup mieux que ce quelle a actuellement vous n'avez rien à perdre général."

Rien à perdre ? Et si nous échouons, nous serons tous accusés de haute trahison et l'armée sera débarrassée de tous ses dirigeants.

Les républicains n'ont pas eu besoin d'armée, ni même d'argent, pour rétablir la République, et ce même lorsqu'ils n'avaient pas le soutien unanime, loin de là, de la communauté internationale. Ce serait du suicide.

Je me vois donc contraint de rejeter votre proposition, Delfrous.

Une Seconde demande de rencontre avec le chef des armées ostarienne fut demandé par le Cabinet Delfrous.

Premier Ministre Messages : 322 Date d'inscription : 04/11/2017 Age : 41

Le capitaine Patrick D'Outremont, officier de liaison du Gouvernement délégué auprès du chef d'état major de l'armée ostarienne eu vent de la nouvelle tentative des monarchistes de prendre contact avec le général.

Aucun compte rendu officiel n'avait été fait de la première rencontre, mais il semblait clair que son objet était louche d'après les retours que chacun avait pu en avoir. Dans le doute, le capitaine D'Outremont fit état de la nouvelle sollicitation du prétendant Delfrous dans son rapport habituel au cabinet du Premier Ministre.