Joséphine Perret : M. Torassa, bonsoir. Prenez place, je vous prie.
J'irai droit au but. J'ai peur d'une victoire de la droite à Egois. Non seulement nos idéaux divergent, mais je suis convaincu que donner un trop fort pouvoir à un mouvement sans opposition, que donner toutes les villes d'Ostaria à la gestion du MUR, qui fusionnera peut-être d'ailleurs avec des candidats ultra-libéraux et ultra-conservateurs tels que ceux de l'UTL, serait extrêmement risqué et non démocratique.
M. Torassa, nous partageons des idées. Le socialisme. L'écologie. La jeunesse. Les transports délaissés par les anciens gouvernements.
Souhaiteriez-vous une liste d'union de la gauche pour permettre à ces idées de ne pas être ignorées ?