Jérôme Plassel

Information du personnage

Citation :: Service du recensement

A Lunont, le 2 février 2016,

Monsieur Plassel,

Après étude de votre dossier, le service de recensement décide:
-l'émission de votre carte d'identité ci-jointe
-le maintien de la nationalité ostarienne

L'ensemble des équipes vous souhaite la bienvenue en République d'Ostaria.

Bienvenue à vous Smile

Comment avez-vous connue le forum ? Razz

Bonjour et merci,

j'ai connu le forum grâce à TourDeJeu (annuaire de forums)

Messages : 375 Date d'inscription : 18/01/2016 Age : 46

Bienvenue à vous Monsieur Plassel.

Merci.

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Présentation de
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Jérôme Plassel
Bienvenue en République d'Ostaria.

Nom : Plassel
Prénom : Jérôme
Surnom : "la mule gaulliste" (car il est têtu ... comme une mule !)
Date de naissance : 08/04/1974
Lieu de Naissance : Brignal
Lieu de résidence : Brignal
Age : 42 ans
Statut : Célibataire
Nationalité Ostarienne
Métier : Homme Politique
Taille : 1,80m
Poids : 74 kg
Nom et Prénom de votre Avatar IRL Nicolas Dupont-Aignan

[size=32]Feat. Nom prénom de la personnalité[/size]
[size=32](C) Copyright[/size]

Histoire de votre personnage
A QUOI JE RESSEMBLE RÉELLEMENT ?

Jérôme Plassel est le fils d'Antoine Plassel et d'Hélène Plassel (née Gaillard). Il milita pour l'instauration d'une République avec le MIR (Mouvement pour l'Instauration de la République) dès 21 ans et jusqu'à la mort de Sigmar I. Il n'a jamais fait d'actes violents, mais accrochait des affiches et à 26 ans, s'occupa d'organiser les réunions secrètes de l'organisation (interdites par le roi). Il devint président du MIR à 29 ans. Attrapé à 34 ans, avec 28 autres membres du groupe, à cause d'un espion du roi infiltré dans l'organisation, il restera en prison jusqu'à l'instauration de la République. Depuis, Jérôme Plassel milite pour la République et la démocratie, pour lesquelles il s'est donné tant de mal.

Caractère de votre personnage
QUEL GENRE DE PERSONNE JE SUIS ? Ange ou démon ?

Très, très, très têtu ! Il adore Charles de Gaulle. Il ne supporte pas le mensonge, et est toujours franc avec tout le monde.

Il ne supporte pas tout ce qu'il juge "contraire aux principes républicains" et "une atteinte à la démocratie".

Qualités et Défauts de votre personnage
MA VIE AVANT QUE TOUT BASCULE...

Qualités : travailleur, têtu

Défauts : a tendance à faire confiance trop facilement.

En dehors du forum
QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo :
Age : 12 ans
Comment avez vous découvert le forum ? Annuaire de forum
Votre avis sur le forum ? Pas mal du tout !
Votre présence sur le forum ? Je suis souvent présent.

Messages : 142 Date d'inscription : 16/05/2016 Age : 48

J'adore

Merci !

Pourriez-vous renouveler ma carte d'identité s'il vous plaît ?

Messages : 375 Date d'inscription : 18/01/2016 Age : 46

Citation :: Décision exceptionnelle
Ministère des Affaires Régaliennes

Suite à des ralentissements de nos services de recensements, le Ministère des Affaires Régaliennes vous accorde un droit de rester sur le territoire de la République d'Ostaria jusqu'au 1er octobre. Ce délai supplémentaire permettra à nos services de régulariser votre dossier dans les temps. Nous vous remercions.

Mathilde Picvaux,
Ministre des Affaires Régaliennes

Citation :: Service du recensement

A Lunont, le 27 septembre 2016,

Monsieur Plassel,

Après étude de votre dossier, le service de recensement décide:
-l'émission de votre carte d'identité ci-jointe
-le maintien de la nationalité ostarienne

C'était il y a deux ans (et une heure) que je me suis inscrit pour la première fois (oui, parce qu'il y en a eu d'autres avec mes autres comptes Very Happy

) à ce forum magnifique.

Deux ans ! J'ai rencontré des tas de gens sympathiques (parmi eux : François, Alex, Philippe (Lacroix), Albert, Nicolas (Barouel), Agrippine (Sonners), Julien (Battista), Damien (même s'il est un peu casse-pieds sur les bords, sans rancune Very Happy

), Alexandre ... et d'autres encore).

Deux ans ! J'ai tellement changé depuis, et Ostaria aussi, comme Ostaria m'a changé, d'ailleurs. Je me souviens de mes débuts ici ... Je me souviens de très bons moments de joie ou de fous rires de plusieurs dizaines de minutes Very Happy

...

Deux ans ! Et puisse Ostaria vivre encore longtemps !

J'espère que vous êtes tous heureux de ma présence ici (y'a intérêt ^^) et que nous pourrons encore passer d'extraordinaires moments ensemble Smile

.

Messages : 65 Date d'inscription : 28/12/2016 Age : 29

Un joyeux Anniversaire à toi :p

Merci

.

Premier Ministre Messages : 322 Date d'inscription : 04/11/2017 Age : 41

Eh bien

Il faut dire que les bons joueurs se font rares dans les micronations et ceux qui ne sont pas dégoutés par le chaos ambiants en sont parfois victimes. Deux ans dans ces conditions c'est presque un titre de fierté ! Félicitations ;)

Dans tous les cas cela fait un peu plus de quelques mois que nous nous connaissons, tu as su développer un jeu de qualité et tu as en toute circonstance fait preuve d'un grand sens de l'ouverture et de l'accueil une qualité que je considère comme cardinale dans les jeux coopératifs comme le notre.

Bref, c'est un plaisir de jouer ici et un plaisir de jouer avec toi. Joyeux anniversaire micronational Smile

Ostaria n'a pas toujours été dans ces conditions ; c'est très récent, en fait Smile

.

Merci, ça me touche Smile

.

Toi tu veux me faire pleurer ou quoi Jérôme Plassel 2656324940

Merci pour tout Jérôme Very Happy

Il est vrai que Ostaria a eu à chaque fois des membres exceptionnel, tu est dans le pantheon par ta presence, investissement et ta bonne humeur.

Rien que pour cela je t'ajoute a mon testamen et t'autorise a reposer à mes côtés Jérôme Plassel 2104266534

Premier Ministre Messages : 322 Date d'inscription : 04/11/2017 Age : 41

Ah ? Il est prévu de faire mourir Jérôme ? Alexandre va pouvoir devenir président à la place du président ?? Very Happy

Spoiler:

Jérôme Plassel charge son fusil et vise la tête d'Alexandre.

Tu as une opinion un peu haute de toi-même, François, je crois Very Happy

.

Messages : 142 Date d'inscription : 16/05/2016 Age : 48

Citation :: Message de la préfecture.

Monsieur Plassel, votre carte d'identité n'est plus valable , merci de vous rendre le plus tôt possible au service du recensement pour vous mettre à jour.
Dernier délai le 1er Octobre 2018 avant une décision de la justice sur votre situation.

Cordialement,

Jérôme Plassel envoya l'un de ses assistants au service de recensement pour demander le renouvellement de sa carte d'identité. C'est vrai, quoi, il n'a pas que ça à faire !

Edmond Hallié (le sous-fifre de Plassel) : Euh ... bonjour ... euh ... monsieur ? S'il vous plaît ?

Les employés du service du recensement allaient et venaient. Hallié, aussi timide et peu sûr de lui qu'il était, dû attendre une bonne demi-heure pour que l'on accepte de lui donner la parole.

L'employé : Oui, c'est pour quoi ?
Edmond Hallié : Oui ... euh, bonjour. C'est ... je suis envoyé par le Président de la République, et ...
L'employé : On en a marre de vos plaisanteries ! On a du boulot, là ! Arrêtez de vous faire passer pour le Président, le Premier Ministre ou un haut dignitaire étranger ! Déguerpissez, avant que je n'appelle la police !
Edmond Hallié, désarçonné : ... euh ... oui ... euh ... bien sûr. Au revoir.

Il sortit et se demanda, nerveux, ce qu'il allait pouvoir faire.

Plassel, à la présidence de la République, avait quatre numéros de téléphone : un, public, pour le commun des mortels, où il fallait attendre très longtemps pour être interrogé par un secrétaire qui, peut-être, par miracle, pouvait rediriger l'appel vers Plassel lui-même ; un autre, privé, réservé à sa famille et ses amis proches, qui était immédiatement passé au Président s'il n'était pas occupé en conseil des ministres, ou dans une discussion importante avec un dignitaire étranger ; un troisième pour les dignitaires étrangers, où des interprètes pouvaient traduire les paroles du dignitaire, quelle que soit leur langue - ou presque - ; enfin, le dernier était réservé à ses collaborateurs. Hallié connaissait naturellement celui-là.

Le secrétaire de Plassel, au téléphone : Bonjour, vous avez bien téléphoné à la présidence de la République. Nom et objet de votre appel ?
Hallié : Euh ... Hallié. Edmond Hallié. J'ai des problèmes avec le service du recensement, concernant le Président de la République lui-même.
Le secrétaire : Il est occupé en conseil des ministres, pour le moment. Rappelez donc dans deux heures.
Hallié : Mais ...
Le secrétaire raccrocha

Hallié attendit deux heures sur un banc, devant le service du recensement ; il acheta un sandwich, car il avait faim. Puis il rappela.

Le secrétaire : Bonjour, vous avez bien téléphoné à la présidence de la République. Nom et objet de votre appel ?
Hallié répéta les informations qu'il avait données précédemment.
Le secrétaire : Ah oui, il n'est plus occupé. Je vous le transfère.

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Plassel était dans son bureau, à étudier un projet qu'on lui avait présenté en conseil des ministres.

Le secrétaire, au téléphone : Monsieur le Président, monsieur Edmond Hallié sur la 2.
Plassel : Je prends. Merci, Yves.
Il appuya sur un bouton de son téléphone et prit le combiné. Il prit un ton joyeux, car il aimait bien son assistant ; il était très intelligent, même s'il avait de sérieux problèmes de courage.
Plassel : Alors, Edmond, tout s'est bien passé avec ma carte d'identité ?
Hallié : Euh ... non, justement, monsieur le ... le Président. C'est justement pour cela que je vous appelle.
Plassel : Quoi, on refuse de la mettre à jour ?
Hallié : C'est pas ça ... mais ... ils croient que je suis un plaisantin.

Plassel soupira. Ces gens imaginent-ils qu'il a du temps à perdre ?

Plassel : Écoutez. Je vais vous montrer comment on parle à un bureaucrate.

Il tapa un numéro sur son deuxième téléphone, et plaça les deux combinés de façon à ce que Hallié puisse entendre ce qui est dit.

Une voix : Allô, service du recensement, que puis-je faire pour vous ?
Plassel : Passez-moi Stéphane Dubois, le directeur.
La voix : Il travaille sur un dossier très important et ne veut pas être dérangé. Qui êtes-vous ?
Plassel : Jérôme Plassel, Président de la République.

La voix parut nerveuse ; elle devint plus aiguë et parla plus vite.

La voix : Je vous le passe tout de suite, monsieur le président.

--------------------

Dubois ronflait sur la chaise de son bureau. C'était l'heure de la sieste. On frappa à la porte, et il se réveilla.

Dubois : Hein ? Ah ? Quoi ? Qu'est-ce que c'est ? Euh ... entrez !

Sa secrétaire entra.

La secrétaire : Le président de la République demande à vous parler.
Dubois : Le président ... Le ... Le président de la République ? Passez-le-moi !

Elle lui donna le téléphone, et sortit de la pièce en fermant la porte.

Dubois : Allô ... monsieur le ... président de la République ?
Plassel : Dubois, c'est quoi ces âneries ! Déjà, vous m'envoyez un courrier pour me dire que je ne suis plus ostarien ; je joue le jeu, mais vous vous moquez de mon assistant quand il vient chez vous ... Vous croyez que je n'ai que ça à faire ?
Dubois : Mais ... mais je ne comprends pas, monsieur le ...
Plassel : Je ne veux rien savoir ! Vous allez me refaire ma carte, et, si je ne l'ai pas dans une heure chez moi, dans mon bureau du palais d'Yguerne, je donne votre poste à Meyer.

Alfred Meyer était son principal rival pour la tête du service du recensement.

Dubois : À ... à Meyer ?
Plassel : Parfaitement, à Meyer ! Pressez-vous, si vous tenez à votre salaire !
Dubois : Je ... je m'en occupe personnellement, monsieur le président.

Il raccrocha.

-----------------

Plassel raccrocha également. Il parla à Hallié, qui avait tout entendu.

Plassel : Vous voyez, Hallié : si vous voulez continuer à travailler avec moi, il vous faudra apprendre à parler aux bureaucrates. Gardez ça à l'esprit : tout ce qu'ils veulent, c'est un bon salaire. Ils s'aplatissent devant tous les dignitaires, les présidents, tout ça. Même devant vous. Enfin, si vous resserrez votre chemise et faites attention de ne pas avoir votre cravate de travers. Bon, j'ai besoin de vous ici, à présent. J'aimerais votre avis sur un dossier important que l'on m'a présenté au conseil des ministres.

Il raccrocha sans écouter la réponse, et se concentra à nouveau sur son projet.

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